mardi 19 septembre 2017

LES BAIES DE GOJI

Faites une cure du plus puissant 
anti-oxydant au monde! 


Les médecines traditionnelles tibétaine, chinoise et ayurvédique, utilisent baies et racines depuis des millénaires, et revendiquent pour cette plante des actions miraculeuses au niveau du foie, du système cardiovasculaire et nerveux, de la régulation de l'humeur et de la vision, et au niveau de la vitalité et de la longévité. 
Les observations ont permis d'affirmer les multiples actions bénéfiques liées à la consommation régulière de Goji (environ 20 grammes par jour de baies séchées en cure ou 8 à 12 grammes par jour en consommation régulière): 

Je rajouterai 10 baies en cure et 5 à 6 en consommation régulière.

- action anti-âge et anti-oxydante, notamment au niveau du cerveau et de la vision 
  • stimulation de la synthèse de l'hormone de croissance (action anti-âge, notamment au niveau du système musculaire, cutané et de l'appareil 
  • ostéo-articulaire), 
- régulation de la pression sanguine, de la glycémie et du cholestérol, 
- stimulation de la libido et de la fonction sexuelle, 
- stimulation de la fonction cérébrale, surtout au niveau de l'humeur et de la mémoire, 
- soulagement de l'anxiété et du  stress. 

Composition du Goji 
Le succès du Goji réside dans les nutriments qu'il contient: - 
- 19 acides aminés d'assimilation facile incluant les 8 essentiels pour la vie (unique dans le monde des plantes), 
- 21- oligo-éléments en dosage quasi parfait incluant le germanium, très rarement retrouvé dans les aliments, 
, de la vitamine C en très forte concentration jusqu'à 500 fois plus, à poids égal, que les meilleurs agrumes), 
- des vitamines du groupe B, notamment B1, B2 et B6, 
- de la vitamine E, 
- des acides gras essentiels, 
- de la bétaïne, utilisée par le foie pour produire de la choline, qui aide à réduire le niveau d'homocystéine  et protège l'ADN, 
  • divers anti-oxydants et flavonoïdes, notamment les caroténoïdes anti-âge, protecteurs de la vision, du cerveau, de la peau, du système circulatoire, et de l'ensemble de l'organisme. La concentration globale en anti-oxydants, mesurée en unités spécifiques, est supérieure à 30 000, soit la plus élevée connue à ce jour pour une substance végétale naturelle contre "seulement" 16 000 environ pour les meilleurs agrumes. 
- Enfin et surtout le Goji contient des polysaccharides, des molécules mères complexes qUi, comme dans la spiruline où leur action a fait l'objet de multiples études, régulent et surtout stimulent les mécanismes des défenses naturelles. 

Les 10 plus grands bienfaits des Polysaccharides bioactifs : 

* Inhibe la croissance des tumeurs. 
* Prévient les maladies auto-immunes. 
* Neutralise les effets secondaires de la chimiothérapie et de la radiothérapie. 
* Aide à normaliser la tension artérielle. 
* Aide à équilibrer le taux de sucre sanguin. 
* Combat les maladies auto-immunes. 
  • Agit comme un anti-inflammatoire. 
  • Équilibre le i système immunitaire. 
* Abaisse le taux de cholestérol et des lipides dans le sang. 
* Augmente l'absorption du calcium. 
"Bien que plusieurs plantes produisent de petites quantités de polysaccharides bioactifs, il semble que celles qui produisent les plus hauts niveaux de ces composés protecteurs soient celles qui ont elles mêmes un plus grand besoin de protection. Les espèces qui produisent des polysaccharides sont surtout celles qui tentent de survivre sous de grands stress, tels que des températures extrêmes, une haute altitude ou de fortes précipitations soudaines. 
Aucune plante sur terre ne pousse sous des conditions aussi stressantes que le Goji d'Himalaya.Il n'est alors pas surprenant que les scientifique s considèrent cette petite baie rouge comme un trésor de polysaccharides très bioactifs. Les polysaccharides qu'ils ont trouvés étaient différents et plus actifs que tout ce qu'ils avaient vu auparavant. " 



Comment le consommer ? 

Bien qu'il n'y ait rien de plus simple que de faire une cure de Goji, quelques recommandations vous permettront d'en accroître les bienfaits. 
Deux options s'offrent à vous pour consommer du Goji. Soit en cure de 2 à 3 mois lorsque vous en éprouvez le besoin soit quotidiennement tout au long de l'année comme le fait séculairement le peuple Hunza. 
Pour une cure, le dosage conseillé est de 20 grammes par jour. Pour une consommation continue et régulière 8 à 12 grammes par jour suffisent (une trentaine de fruits l'ensemble tenant dans une petite cuiller à soupe). 
Le dosage quotidien pourra être adapté en fonction des besoins (période de stress par exemple). 
Bien que cela soit très rare, le Goji étant un fruit extrêmement puissant, il peut arriver que des personnes à l'organisme fragile ou "encrassé" ressentent quelques effets secondaires lors du démarrage d'une cure tels que par exemple une petite crise de foie due à la détoxication ou des maux de ventre. 
Le Goji a la propriété de fluidifier le sang, attention à prêter attention aux petites hémorragies possibles, nez, gencives, petits chocs et aux varices. Si c’est le cas stoppez la cure ou diminuer la quantité de baie.
Dans tout les cas, interrompez la prise pendant un jour ou deux puis reprenez la consommation en divisant la dose de moitié avant de l'augmenter graduellement afin de déterminer la dose optimale. 

Attention :
L'Office pour la protection des consommateurs Suisse a analysé des baies de huit marques différentes ainsi qu'un jus, des pastilles et un thé à base de ce fruit. Sept échantillons posent des problèmes. Les autorités ont interdit deux types de baies séchées car elles ont été soumises à des rayons radioactifs, ont-elles indiqué mercredi. Dans certains pays producteurs, ce procédé est utilisé pour garantir la bonne hygiène des produits. Cinq types de baies contenaient par ailleurs trop de soufre, dans un cas même sept fois plus que la dose maximale autorisée. Aucun des emballages ne mentionnait la présence de soufre dans les baies, comme l'ordonne la législation suisse. Le sulfite peut provoquer de fortes réactions chez certaines personnes.




Préférer les produits bio.



























Gérard Wenker






mercredi 13 septembre 2017

L'ÂGE VIEUX

L’ÂGE VIEUX


Demandez à un adolescent, ce qu’il pense de sa vieillesse, de sa retraite et finalement de sa mort, ou essayez de vous rappeler l’époque bénie de votre jeunesse où l’écoulement du temps n’avait pas prise sur vous. La mort était quelque chose de totalement abstrait, la vieillesse si éloignée qu’elle ne pouvait même pas être envisagée et la retraite… l’antichambre obligatoire pour tous, présage de la fin du voyage ; bien aléatoire. 

N’ayant aucune conscience que la vie est évanescente, la mort présente à chaque instant, et que le temps de l’insouciance si fugace ; la jeunesse prend des risques inconsidérés avec sa vie.

Si la chance, le hasard, ou la sagesse vous a permis d’éviter tous les pièges que la grande faucheuse vous avait tendus, et que vous arriviez malgré tout au début de la 4ème étape, ne croyez pas que vous êtes tiré d’affaire.

Les deux tiers du voyage sont faits, restent la dernière étape, censée être la plus courte (plus maintenant), mais la plus périlleuse. Comme dans une course, échouer tout près de l’arrivée est vain, ce qui compte c’est de passer la ligne coûte que coûte.

Après avoir expérimenté toutes les libertés et même quelquefois franchi la ligne rouge, il va maintenant falloir se libérer même de cette liberté-là, pour en atteindre une autre, la liberté spirituelle qui permet de s’engager sur le chemin du retour, débarrassé de tout bagage superflu.

Aujourd’hui je vous écris d’un pays que je ne pensais pas visiter un jour : le pays des vieux. C’est arrivé comme ça il y a quelques années. Mais à cette époque, je vivais avec l’illusion que je n’étais que de passage dans cette étrange contrée. Que j’allais retourner bien vite dans le pays où tout le monde travaille ; 
  • Où je suis QUELQU’UN… 
  • Où le téléphone sonne… 
  • Où mon portable sert à autre chose qu’à appeler les secours routiers parce que j’ai oublié d’éteindre mes phares et que la batterie est à plat, ou plus grave le Cardiomobile lorsque surgit brutalement un rouleau compresseur qui tente de m’écraser.
– Alloooo… allooo, je ressens une forte douleur dans la poitrine.
– Ne bougez pas, je vous envoie une équipe de secours ! Allôooo… monsieur, vous êtes encore là… ça va ? Calmez-vous, respirez profondément.

Bref, vous avez déjà vécu ça, non… ! ne vous inquiétez pas ça viendra.

Il y a une chose que je ne savais pas : une fois qu’on entre dans ce pays, on n’en revient JAMAIS. : on n’est pas beau à voir, pas gratifiant à fréquenter. Parfois on rencontre des gens de l’AUTRE pays, mais ils n’ont pas l’air de vous remarquer, comme si vous étiez devenu invisible.

Les seuls pour lesquels vous compter encore, ce sont vos enfants, si vous en avez. 

Et si vous avez des sous… alors là, méfiance…

Papy, tu ne devrais pas rester seul dans cette grande maison, si tu tombes ou si tu as un infarctus, tu te fais bien à manger au moins ? Nous nous faisons beaucoup de soucis, tu sais. Tu devrais songer sérieusement à……… déménager, si tu veux nous allons t’aider à trouver une pension confortable.

Non... non, allez vous faire foutre, je ne suis pas encore sénile. C’est comme ça qu’à l’âge de 85 ans ont se brouille avec ses enfants chéris.

Le plus souvent on se sent en trop dans l’AUTRE pays.
Alors on reste chez soi : dehors ça craint pour ceux qui habitent le pays dont on ne revient jamais.

Il y a 30 ans à peu près, j’avais vu un film basé sur un roman de Barjavel : ça s’appelait “SOLEIL VERT“. 

En 2022, les hommes ont épuisé les ressources naturelles. Seul le soleil vert, sorte de pastille, parvient à nourrir une population miséreuse qui ne sait pas comment créer de tels aliments.



Omniprésente et terriblement répressive, la police assure l’ordre. Accompagné de son ami, un policier va découvrir, au péril de sa vie, l’effroyable réalité de cette société inhumaine.

On aurait pu l’intituler “comment se débarrasser des vieux“.

Les vieux donc étaient invités lorsqu’ils se sentaient un peu branlants sur leurs jambes, lorsque la vie ne leur apportait plus rien d’intéressant comme… tomber amoureux, partir aux quatre coins du monde, passer une nuit blanche, danser jusqu’au petit matin, courir après l’autobus. Donc quand ils sentaient qu’ils ne pouvaient plus faire toutes ces choses qui rendent la vie si intéressante, on les priait gentiment, mais fermement à se rendre dans un lieu magnifique où pendant une heure ou deux ils pouvaient faire tout ce qui leur passait par la tête avant de recevoir la potion magique, celle qui vous envoyait non pas dans un autre pays, mais dans un autre monde, meilleur enfin c’est ce qu’ils disaient, parce que personne n’en était jamais revenu pour nous dire s’il était meilleur ou pas. Ainsi délesté de ses vieux, le gouvernement brûlait les cadavres, en faisait de la poudre, recyclée en petites pilules vertes : des concentrés de protéines miracles, vendus à toute la population des jeunes… pour le moment.  

Personne n’osera jamais faire ça... Et pourtant, quelle aubaine pour beaucoup : transformer des vieux inutiles et coûteux en pilules qui rapportent de l’argent. La société cotée en bourse qui vendrait ces pilules verrait sûrement le cours de son action grimper. Les fonds de pension seraient contents. Ce film est sorti en... 1973... C’est dire s’il y a préméditation dans l’élimination des vieux. C’est vrai que depuis il y a eu la canicule de 2003 -  50.000 vieux dans toute l’Europe, d’un seul coup, ça fait une coupe… et du vide !!!

Mais à part ça, tout va bien, c’est juste qu’on se sent vaguement mal à l’aise lorsqu’on vous rebat les oreilles avec les frais engendrés par les vieux, surtout les surcoûts de la santé, en insistant bien que ces coûts sont payés par des jeunes en pleine forme, qui eux ne coûtent rien à personne c’est bien connu, même qu’ils rapportent parfois de l’argent. Tous les accidents de la route sont provoqués par des vieux, incapables de faire la différence entre un lapin et un cycliste, des vieux qui vous chopent une crise cardiaque sur les giratoires. 


Qu’on leur retire leur voiture et leur permis et qu’ils restent chez eux tant qu’ils le peuvent, après on verra comment s’en débarrasser en douceur.

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Alimentation : Les besoins spécifiques des seniors

Les seniors ont des besoins nutritionnels spécifiques. Ils doivent être vigilants afin d'éviter les carences. Quels sont les aliments privilégiés et les risques propres à l'âge ?

Le régime alimentaire des seniors doit à la fois être varié et adapté. Certains aliments sont à privilégier.

*   Les besoins en énergie

Contrairement aux idées reçues, on ne doit pas manger moins en vieillissant. Si l’activité physique est souvent diminuée chez le senior, un rendement métabolique moins bon nécessite des besoins énergétiques plus élevés et donc équivalents à ceux de l’adulte. Ils sont estimés à 30 à 35 Kcal par kilo de poids, ce qui signifie environ 1 800 Kcal pour une personne de 55 kg. 

En raison des modifications physiologiques liées à l’âge, mais aussi en raison des modifications du statut social (revenus insuffisants, isolement, dépendance) le risque de malnutrition protéino-calorique augmente chez la personne âgée, notamment chez les personnes hospitalisées ou en institution. Il est important de dépister précocement tout risque de dénutrition. Pour cela il existe des grilles d’évaluation nutritionnelle rapide à l’usage des médecins et des diététiciens. 

*   Les besoins en protéines

Ils sont au moins équivalents à ceux de l’adulte, voire supérieurs, car le métabolisme protéique chez la personne âgée favorise la fonte musculaire. Les experts recommandent 1g par kg de poids et par jour.

La sarcopénie est une fonte musculaire due à une diminution de la masse maigre. Une personne perd en moyenne 20 à 40 % de 20 à 80 ans. Elle n’est pas inéluctable et il est possible de refaire du muscle même à un âge avancé en associant activité physique et apports protéiques adéquats.

*   Les besoins en calcium

Ils sont supérieurs à ceux de l’adulte, car le métabolisme du calcium est altéré par le vieillissement. Les recommandations sont de 1 000 mg à 1 400 mg par jour.

L’ostéoporose, définie par l’association d’une masse osseuse basse et d’une détérioration de l’architecture osseuse, a pour conséquence une fragilité osseuse accrue pouvant conduire à des fractures. La masse osseuse diminue de 40 à 50 % chez la femme entre 30 et 80 ans, deux fois moins chez l’homme.

*   Les besoins en micronutriments

Le sujet âgé présente un risque élevé de carence en micronutriments en raison de modifications physiologiques et de certaines pathologies associées au vieillissement. On observe souvent des déficiences en vitamines du groupe B et en anti-oxydants. Il n’existe pas encore de recommandations spécifiques par rapport à celles du sujet adulte, mais de nombreux travaux de recherche sont en cours.

*   Besoins en lipides

En ce qui concerne les lipides, on sait que le taux de cholestérol n’est plus corrélé à l’athérome après 65 ou 70 ans. Ainsi la consommation de graisses peut être plus flexible et s’adapter au goût de la personne âgée. 

Des risques spécifiques 

Les seniors doivent être particulièrement vigilants à propos de différents problèmes liés à l'alimentation. Ainsi ils doivent faire attention : 

* Au risque de déshydratation ;
* Aux problèmes de constipation ; 
* À l’apparition de diabète non insulino-dependant ;
* Aux régimes restrictifs en cas de surpoids, car ils peuvent être sources de monotonie alimentaire et donc d’anorexie. 

Dans la maladie d'Alzheimer, on observe très souvent une perte de poids progressive, qui peut conduire à un état cachectique. La perte de poids pourrait être un des premiers signes de la maladie et précéder la démence. 

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Ce sont ici des généralités, car il y a différentes formes de vieillesse et de "vieillards". Il y a ceux qui se laissent vieillir et il y a ceux qui restent actifs et dynamiques. Ces derniers pourront se permettre un peu plus d'écarts, car ils "consomment" plus. Mais on trouve chez tous une constante, le temps qui passe marque son empreinte dont voici les principales caractéristiques :

- Il y a chez la plupart une diminution du poids, les vieux deviennent secs et ceux, plus rares, qui restent gros, ont choisi leur façon de disparaître. Ils auront des troubles du métabolisme et comme la circulation et l'ensemble des vaisseaux ne sont plus au top, ce sera très certainement une des raisons de leur disparition.

- Le renouvellement des cellules se ralentit et ce sont tous les tissus qui en souffrent. Les organes comme les vaisseaux perdent leur souplesse et les gros vaisseaux, comme l'aorte par exemple, perdent peu à peu leur élasticité et se chargent de sels calcaires et de cholestérol. On peut dire que l'état de vieillesse correspond à l'état de ces vaisseaux.  Plus la circulation se ralentit, plus elle est difficile, et plus la personne est "vieille". Et on peut presque dire que l'hypertension est un remède contre le vieillissement en maintenant un débit sanguin important et rapide. Mais je vous rassure tout de suite, c'est quand même une maladie que je ne conseille à personne, mais que hélas, on retrouve chez beaucoup de personnes âgées.

- Sur les glandes endocrines, il y a également un vieillissement, les sécrétions sont moins abondantes, mais pas inexistantes. Thyroïde, hypophyse, testicules, ovaires, surrénales, ont commencé à régresser autour de la cinquantaine. Mais là aussi on trouve de grandes différences, car la sexualité par exemple disparaît très tôt chez certains, alors que chez d'autres, et la plupart je pense, la sexualité peut s'exercer jusqu'à un âge avancé.

- Les ganglions, la rate et la moelle épinière diminuent leur activité et fabriquent de moins en moins de globules blancs.
- On trouve aussi dans le squelette une diminution de la réserve calcaire et donc les os deviennent plus fragiles naturellement. Ceci explique la fréquence des fractures du col du fémur ainsi que les affaissements de la colonne vertébrale. Il faudra donc veiller à un apport calcique assimilable pour remédier à ce constat inéluctable.

- Le tube digestif, lui aussi, ralentit son activité et toutes les sécrétions diminuent, il y a donc un pouvoir digestif diminué.
- Et puis les signes visibles, de la peau qui devient sèche et rugueuse, des cheveux qui tombent et blanchissent. Ils sont la résultante de la mauvaise circulation et du ralentissement du fonctionnement des  glandes endocrines.

- Tout ceci entraîne des réactions de l'organisme ralenties également. Par exemple nous ne verrons plus de grosses réactions d'éliminations comme chez les jeunes avec fièvre à 40°. Ici ce sont plutôt des maladies chroniques, longues et difficiles à guérir et toutes sortes de petits troubles dus au ralentissement du métabolisme et de la circulation.

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L'ALIMENTATION :




- Il faudra la régler en fonction de l'état physiologique de l'individu. On ne mangera pas à 60 ans comme à 90. En règle générale il faudra rechercher les aliments qui accélèrent la circulation sanguine, qui ne génèrent pas trop de déchets dans les vaisseaux, (graisses animales riches en cholestérol, graisses cuites) et éviter ceux qui nécessitent une grosse fatigue digestive.

- Le vieillard devra fuir la suralimentation. On peut dire aussi que tout le monde devrait la fuir, mais le vieillard, lui, ne peut plus assumer l'assimilation ni l'élimination et elle devient donc pour lui encore plus néfaste. De même que les changements brusques d'alimentation. Son organisme ne peut plus s'adapter aussi rapidement et s'il doit y avoir des changements impérieux, ils devront se faire lentement pour que son organisme ait le temps de s'adapter.

- Si un vieillard veut se nettoyer, il devra privilégier plutôt les monodiètes que le jeûne, car les carences chez lui sont devenues insupportables. Et une monodiète sera plus douce, car tout doit se faire en douceur.

- Nous avons vu par ailleurs que les farineux avaient tendance à favoriser l’ hémogliase, c'est-à-dire à épaissir le sang, donc à diminuer la rapidité de la circulation sanguine. Exactement ce qu'il ne faut pas chez la personne âgée qui en souffre déjà. Donc en conclusion, et surtout chez le sédentaire, réduire au maximum la consommation de tous les farineux, les sucres, les légumineuses et les graisses animales. Se méfier de la viande et des oeufs (riches en cholestérol). Adaptation difficile à tous les excitants (alcool, café, etc...). Augmenter au contraire la ration de crudités. Manger le moins possible, mais de tout.


- En dehors de l'alimentation, il est absolument indispensable de continuer une activité physique le plus longtemps possible (sport, jardinage, randonnée, promenade, etc...). De même qu'il est impératif de conserver une activité cérébrale. Et une activité tout court car on peut être utile à tout âge, créer et cultiver l'optimisme.

ALIMENTS :
Conseillés : Pommes de terre, les farines blutées à 75%, toutes les céréales et les châtaignes, mais nous avons vu qu'il n'en faut pas trop.
- Les viandes plutôt blanches, grillées, et pas au repas du soir. Des oeufs, mais pas trop (2 par semaine à la coque ou cru) . Un peu de légumineuses, pois, lentilles, .
- Un peu de beurre cru, huile d'olive, d'arachide, de colza, de noix, de maïs, de pépins de courge, de germe de blé. Quelques olives, noisettes, noix, amandes.
- Pratiquement tous les légumes. À privilégier, carottes, artichauts, épinards, haricots verts,  salades vertes, persil, ail et oignon, tomates. Manger des fruits. Prendre des fruits de saison et très mûrs. Privilégier les fruits non acides.
- Comme boisson l'eau de source est la meilleure des boissons. On peut utiliser aussi les jus de fruits. Il ne faut pas se priver non plus d'un peu de boissons fermentées comme la bière, le vin le cidre, toujours en très petite quantité.


      




Déconseillés : Les farines complètes sont à proscrire,  car le pouvoir digestif est diminué et l'intestin en souffrirait. Les flocons d'avoine sont trop échauffants. éliminer le sucre blanc.
En cas de surpoids, éliminez les 4 P. Pains - Pâtes - Pâtisseries - Pommes de terre.
- Oeufs cuits dur. Éliminer la viande de porc au maximum (trop grasse), le lard, les foie, cervelle, ris de veau, gibiers, langouste, caviar. Toutes les graisses cuites, animales et autres, et les bouillons gras en général.
- Ne consommer que rarement haricots secs, pois secs.
- Éviter de consommer l'oseille et la rhubarbe qui sont acides et décalcifiantes.
- Il faut savoir que les légumes blancs sont pauvres en principes minéralisants et donc ne pas en consommer beaucoup. Par exemple les raves, navets, betteraves, salsifis, céleri rave, etc...
- Ne pas exagérer sur les fruits acides, surtout ceux qui ne sont pas bien mûrs, comme le citron, orange, groseilles, prune, tomate.
- Comme boisson à proscrire, le café, les boissons dites toniques comme le coca-cola, tous les alcools distillés. L’eau du robinet.

Le caddy idéal du nouveau senior, sans oublier les señoritas.

Vert - bio - naturel - régional - pas d’alimentation industrielle - Que du 1er choix
  • Légumes bio frais - graines germées – fruits bio de saison et du pays.
  • Légumes bio préparés surgelés de temps en temps pour dépanner.
  • Eau de source en bonbonne de 8 lt. (si vous pouvez les porter)
  • Jus de pommes - Jus de carotte Biotta – thé komboutcha - thé de 3 ans - vin bio - bière bio.
  • Lait de riz en brique de 1lt. – margarine – fromage de chèvre ou de brebis – lait de soja – yogourt de brebis ou de soja - tahin ou beurre de sésame - Miso.
  • Poisson 1 à 2 fois par semaine – viande 1 fois par mois – tofu – tempeh.
  • Riz – quinoa – polenta – couscous – millet – sarrasin – pâtes.
  • Légumineuses – lentilles – haricots – borlotti – pois chiche – pois - Azuki.
  • Huiles bio de première pression: tournesol – sésame – colza – olives - Noix.
  • sel marin complet de Guérande – algues – vinaigre de cidre – sauce de soja (Tamari).
  • Pains complets bio – châtaignes en pack sous vide.

Proportion moyenne d’une alimentation équilibrée:

Céréales 30/40 %. Légumes 25 %. Algues 5 %. fruits 5%. légumineuses10%. viandes-poissons-fromage 10/15 %.

Bon… il faut cuisiner correctement : sans crème, sans beurre, sans sauce, sans alcool, brefs, vaut mieux suivre un cours de cuisine diététique si vous n’avez jamais cuisiné.

Je me suis permis d’écrire ces articles, comme un témoignage, car bien sûr je pratique cet art de mieux vivre depuis plus de 40 ans, j’en ai 84 et me porte à merveille, aucune maladie de vieillesse, l’esprit alerte et curieux, l’oeil vif, les oreilles attentives, tous mes cheveux et pas encore un seul poil gris ou blancs.

La preuve :



                                                 


Promis je vous tiendrai au courant de l’évolution de ma bonne santé ou de sa dégradation toujours possible.

Vivre plus longtemps c’est bien, encore faut-il aimer la Vie.

Soyez fou ou sage, essayez, la vie est une grande aventure.








Gérard Wenker



lundi 11 septembre 2017

PENSÉES CRÉATRICES








Probablement l'avez-vous expérimenté : vos pensées attirent la réalisation de leur contenu. Cela peut paraître une superstition, et pourtant...
Il n'est pas trop difficile de se le prouver, il suffit de vérifier. La manière dont on le vérifie le plus souvent, trop souvent, c'est quand l'objet des peurs que nous ressassons finit par se concrétiser (maladie, pertes, dettes, conflits, accidents, ...)





LE CONCEPT

Pour mieux se faire une idée de ce dont il s'agit, prenons l'image connue du verre à demi plein, ou à demi vide. Pour une même réalité, nous pouvons la regarder de manière positive, ou négative. Mais la "loi de l'attraction", telle que décrite dans le film "The Secret" (1), ainsi que le livre du même nom, rajoute une notion à laquelle peu de gens sont habitués. Plus on regarde le verre à moitié vide, plus il se vide, et l'on vérifie forcément qu'on avait raison. Et plus on regarde le verre à moitié plein, plus il se remplit, et on vérifie tout autant qu'on avait raison. Quelles que soient les lunettes avec lesquelles on regarde le verre, on vérifie donc toujours la justesse de ce que l'on observe et de ce que l'on croit.
C'est en fait le contenu même de ce à quoi l'on pense qui influence notre future réalité.
Bonne nouvelle! Il est possible de choisir le type de pensées qui nous occupent. En choisissant la couleur de nos lunettes, nous choisissons donc la couleur de notre réalité. La difficulté consiste alors à pouvoir mettre cela en pratique. Car qui peut se targuer de maîtriser parfaitement le contenu de ses pensées?








AVERTISSEMENT

Parvenir à utiliser la loi de l'attraction n'est pas affaire d'improvisation. Cela nécessite tout d'abord un niveau de conscience, d'évolution psychologique et spirituel, suffisamment important. En effet, tout ce qui est expliqué ici n'est pas à appliquer au premier degré, comme un rite magique. Il est important de savoir ce que l'on fait. Il ne s'agit pas de rêver de gagner le gros lot pour tirer le billet gagnant : ça se saurait. Il m'a été rapporté qu'aux Etats-Unis, certaines personnes ayant vu le film, se sont mises dans de sales pétrins en voulant appliquer la loi de l'attraction sans avoir parcouru le chemin d'apprentissage nécessaire pour maîtriser plus ou moins le processus. Je pense qu'il est donc important de prendre le temps de l'apprendre, de tester cela sur de petites choses, tout en travaillant en parallèle sur la gestion de nos pensées et de nos émotions, via la méditation entre autres ou d'autres moyens similaires.

COMMENT S'Y PRENDRE ?

La première chose est de savoir quelle est la réalité que nous désirons. Le plus simple est de commencer par des désirs simples et peu importants (par exemple, obtenir un objet (pas trop rare) qui nous serait utile ou bienfaisant et qui n'est pas à disposition, ou encore se prévoir une petite surprise positive inattendue dans la journée, mais en ignorant laquelle bien sûr.
La deuxième chose est de se formuler son désir sous forme de demande, de manière claire, succincte et neutre.
- Claire, c'est-à-dire en rapport direct avec nos désirs, nos attentes. Il faut donc connaître vraiment notre désir. Si le désir n'est pas clair, il peut être précédé par une demande de clarifier cela.
- Succincte, c'est-à-dire, en évoquant le principal, ce qui importe vraiment.
- Neutre, que l'objet du désir, du projet, ne dépende pas d'une personne en particulier : chacun ayant son libre arbitre, nos pensées ne peuvent influencer le choix des autres dans le but de le faire correspondre totalement à nos souhaits.
De plus il faut que cela soit possible selon notre propre réalité. Car il est important d'y croire.
Une fois le désir formulé, l'important est qu'il revienne souvent à notre esprit, donc sous forme de pensée. Et la pensée ne suffit pas. Il va falloir la charger de l'émotion, l'émotion qui accompagne la satisfaction du désir. Autrement dit, pour visualiser correctement notre projet, il faut s'imaginer la situation de déjà l'avoir réalisé. Il faut donc un ressenti au présent, vivre l'impression d'y être déjà, et cela à répétition, et le temps qu'il faudra, en confiance. Mieux on se sent en faisant cela, plus l'objectif, une fois atteint, nous plaira. Et c'est là la clé qui va nous guider vers les choses qui sont bonnes pour nous, nous conviennent, nous plaisent. En effet, le ressenti qui accompagne la pensée, est le fil conducteur qui va nous aider à choisir nos pensées, à nous rendre compte quand nous sommes dans le bon, ou quand nous ferions mieux de modifier nos pensées, voire, nos projets. L'émotion est donc un feedback qui nous indique la direction à prendre.
Une remarque importante concerne l'état d'esprit dans lequel les choses se font. Si ce que nous désirons doit combler un manque, nous risquons de nous focaliser sur le manque, et ce que nous obtiendrons c'est : plus de manque. Par exemple, si notre désir consiste à vivre dans un certain confort, et qu'il nous faut pour cela combler nos dettes, nous risquons de nous préoccuper du comblement de nos dettes plutôt que de notre confort. Et de la sorte nous attirerons plus de dettes. Ou encore, si notre désir est d'être en bonne santé, et que pour cela, il nous faut guérir, le risque est de nous préoccuper du fait de guérir, ou des moyens pour y arriver. Et cela nous maintiendra dans la maladie ou dans la convalescence plutôt que d'aboutir à la pleine santé.
Et pour se concentrer sur le désir et non sur le manque, il vaut mieux déjà être content de ce que l'on a, et en tout cas, ne pas le vivre en tant qu'état de manque, mais comme état de fait. Le meilleur moyen d'y arriver c'est de prendre conscience de tout ce qu'il y a de bon dans notre vie, au quotidien, les petites choses comme les grandes. Les remarquer, et éprouver le contentement, voire la gratitude.
Si l'on vit au présent le contentement pour ce que l'on a, et qu'on se met dans la situation d'éprouver le plaisir de ce que l'on n'a pas encore; on a, en quelque sorte, déjà atteint le principal, ici et maintenant. Car, en fait, la réalité se trouve bien plus dans notre esprit que dans les choses matérielles ou concrètes qui nous entourent (c'est en tout cas ce qu'évoque la théorie de la physique quantique).
Une dernière chose qui va permettre à nos désirs d'être réalisés, est l'attention que nous portons à ce qui se passe autour de nous. Il se peut qu'une ou des actions de notre part nous soit suggérée(s). Il sera alors nécessaire de la ou les effectuer, et parfois, de comprendre qu'il s'agit du bon moment, ou de la bonne action à faire. Là aussi le ressenti, l'attention, peuvent nous guider. Il est donc important de rester attentif aux opportunités que la vie nous offre et d'une certaine manière, d'apprendre à écouter notre intuition, d'apprendre, d'une certaine manière, à se laisser porter par le courant, tant qu'on s'y sent bien.
Au delà, faire confiance en la vie, et avancer en ignorant quelle étape suivra, comme lorsque nous avançons dans le noir, ne voyant que les quelques pas devant nous éclairés par une bougie, sans être capable de distinguer la destination finale.
On peut ainsi considérer que nous "créons" notre réalité.

CONTOURNER LES OBSTACLES

Je me permettrai d'insister tout de même sur les risques d'échec quand on n'a pas tout à fait compris de quoi il s'agit.
- J'ai déjà cité le fait de se préoccuper des manques plutôt que de ce qui est désiré.
- Très proche de cela il y a aussi le fait de se préoccuper des problèmes plutôt que des solutions. La solution n'est pas dans le problème. Elle est ailleurs : en ruminant les problèmes, on les nourrit.
- De la même manière, il est important de visualiser le "résultat fini". Si l'on visualise un "problème en voie de résolution", on ne fait que préparer le terrain pour rester dans un "problème" en voie de résolution.
- Toujours dans le même ordre d'idée, le désir ne peut pas correspondre à la négation de ce qu'on ne veut pas. Vouloir "ne pas être seul-e", "fuir la solitude", par exemple, c'est occuper nos pensées avec de la "solitude". Il est mieux de visualiser l'amitié, l'amour, la vie sociale, et toutes les situations les impliquant.
- Autre obstacle majeur : tout ce qui, dans notre vie, soutient, maintient de l'opposition, n'a pour effet, dans la réalité, que de stimuler ce à quoi on s'oppose. Par exemple, s'opposer à une règle qui ne nous convient pas, n'aura pour effet que de renforcer cette règle, comme les cartes qui s'opposent pour former le château de cartes.
Quand vous voulez que quelque chose disparaisse, vous ne faites que le renforcer si vous le combattez. Il vaut mieux investir son temps, ses pensées, ses actions, pour ce qui peut y être une alternative, sans le détruire. Savoir ce dont on ne veut pas ne devrait nous servir uniquement qu'à mieux définir ce qu'on veut vraiment, et rien d'autre. Quand on s'investit pour ce qu'on veut, ce qu'on ne veut pas disparaît. Un exemple donné par Hale Dwoskin : "Souvent les élections sont à l'avantage de la personne qui a le plus de gens contre elle, parce qu'elle jouit de toute l'énergie et de toute l'attention."
- Enfin, dernière situation à éviter, c'est celle de la pure observation. En effet, s'il est important de se contenter de ce qui est, il s'avère que dans de nombreux cas, "ce qui est" nous apparaît comme comportant beaucoup d'aspects négatifs. Baigner dans cet état d'esprit ne peut donc que favoriser la spirale négative. Il est possible cependant, sans nier la réalité telle qu'elle apparaît négative, de nourrir des pensées positives sur un futur potentiel. C'est là que le processus peut paraître comme un mensonge. Mais il s'agit là de déclencher une autre dynamique de pensée. Et il y aura toujours ça ou là, un détail au présent qui est positif et qui pourra nous contenter, et c'est celui-là qu'il vaut mieux rechercher. D'où l'utilité de cultiver l'attitude de gratitude pour ce qui est là, ce que nous vivons au présent.

LA PENSEE ATTIRE LA PENSEE

Il peut paraître difficile d'apprendre à gérer ce processus. Pourtant, une fois qu'on commence à remplir le verre, il existe un effet de spirale positive qui va renforcer le processus (et qui dans les conditions inverses le renforce également quand nous nous levons du mauvais pied, et le subissons toute la journée; quand nous ruminons sur un thème déplaisant et ne parvenons plus à nous en distancier). En effet, nos pensées attirent notre réalité, mais elles attirent aussi des pensées semblables. Plus on pense à des choses positives en se sentant bien, plus on aura tendance, sans effort, à continuer à nourrir ce genre de pensées. La plus grande difficulté est donc de commencer (tant qu'on ne s'est pas assez prouvé que ça marche), et par la suite de rester dans la spirale positive, quoi qu'il advienne. La reconnaissance, le contentement, au quotidien, sont un moyen puissant pour y arriver.


QUELQUES CARACTERISTIQUES DE LA LOI DE L'ATTRACTION

Le principe consiste à dire que l'on devient ce à quoi l'on pense le plus. Nos pensées fonctionnent comme des aimants.

1. Ce principe fonctionne toujours, sans exception (pas forcément dans le sens désiré s'il est mal appliqué), il est sans limite :
- Quand on est capable de l'observer, il est tout autour de nous.
- La valeur des pensées n'intervient pas : que nos intentions soient bonnes ou mauvaises, que ce à quoi nous pensons plaisent ou non, cela se réalise.
- La compréhension ou non du processus ne change rien à sa réalité.
- Le fait d'y croire ou pas n'intervient pas dans son fonctionnement.
  • La conscience du processus ne joue pas, le principe fonctionne aussi pour les gens qui l'ignorent. Et même en le connaissant et en ne maîtrisant pas forcément nos pensées, cela fonctionne.
2. On ne peut demander quelque chose qui implique le choix des autres, ou demander que les autres changent. Par contre on peut concentrer nos pensées sur les choses que nous aimons chez les autres, et c'est alors ce que l'on verra le plus chez eux. "Si vous connaissiez votre potentiel à vous sentir bien, vous ne demanderiez à personne d'être différent pour que vous vous sentiez mieux.
3. Le processus permet de se libérer des cadres autoritaires, des conditionnements et croyances, des règles arbitraires, car les réponses que nous cherchons sont à l'intérieur de nous.
4. L'application du processus donne réellement du plaisir. 
5. Quand on utilise la loi de l'attraction de manière consciente, elle prend vite de l'importance dans notre vie, elle nous guide, nous soutient, et cela donne du sens.



QUELQUES DERNIERS CONSEILS

- La concrétisation du processus dans notre réalité n'est jamais immédiate. C'est à la force de répétitions au niveau de nos pensées et émotions que la réalisation de nos désirs surviendra.
- On peut annuler le processus en cours, en changeant nos pensées. Rien ne sert de maudire nos pensées passées, il suffit d'en nourrir d'autres, positives, dans le présent.
- Ecrire nos désirs et projets, et le faire au présent est un bon moyen pour stimuler leur réalisation dans les faits.
- Il est important de ne s'attarder qu'au résultat final dans nos représentations mentales.
- L'acceptation de ce qui est, en reconnaissant ce qu'il y a de bon dans la situation et nous contente, est le moyen fondamental qui va transformer notre état d'esprit et nous permettre d'envisager un futur plus en confiance. Surtout que notre esprit ne fait pas la différence entre ce qui se passe dans notre mental (imaginé) et ce qui se passe dans la réalité (concret).
Dans la présente description, j'ai expressément éludé la question de la transcendance, pour éviter de heurter inutilement les croyances de certains. Mais il est naturel que la loi de l'attraction, tout ce processus, mène forcément à cette question. Cependant, il n'est pas nécessaire de s'interroger à ce niveau pour commencer à utiliser ses principes, de même qu'il n'est pas nécessaire de pouvoir comprendre la loi de la gravitation pour vérifier qu'une pomme lâchée au dessus du sol tombera irrévocablement. Mais il est clair que si nous avons un tel pouvoir (et nous pouvons tous le vérifier), sur le monde, par nos pensées, c'est parce que nous faisons partie d'un tout, nous sommes tous reliés. Et donc, une fois qu'on admet l'existence de cette loi, parce qu'on l'a suffisamment vérifiée au niveau de son expérience personnelle ou observée autour de soi, cette question finit par s'imposer. Libre à chacun d'y répondre à sa manière, en fonction des lunettes qu'il porte, ou qu'il choisira de porter.

POUR EN SAVOIR PLUS

Je ne saurais trop conseiller de visionner le film "The Secret" de Rhonda Byrne,ou de lire le livre du même nom, et j'ose espérer que ce dernier sera publié un jour en version française. Il est à mentionner que le livre a été traduit en néerlandais et en espagnol (entre autres), sous le même titre.



Le film n'est pas forcément un modèle universel. S'y reflètent les mentalités de ceux qui l'ont initié, et qui ne correspondent pas forcément à nos références personnelles. Pour ma part, j'ai été choquée par l'insistance continuelle à propos de la recherche de la richesse, de l'argent, du profit. Ce ne sont pas des références pour moi, bien au contraire. J'aurais plutôt choisi d'orienter le film bien plus vers la recherche de relations épanouissantes, vers la possibilité de pouvoir réaliser nos passions dans le travail ou les temps libres, vers l'ouverture de conscience, vers l'évolution de nos comportements, vers le bien-être, la santé, la sérénité, la paix, le bonheur etc.

Par Claire De Brabander